« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

mardi 24 avril 2012

Danemark - “comme Breivik, nous aussi on en a marre des halal-hippies”


Cela fait un moment que je n’avais rien posté dans ce blog, occupée par un autre combat. J’ai rarement pris la plume pour exprimer mes opinions, me contentant de transmettre et/ou de traduire des informations venant d’autres médias. Mais aujourd’hui l’heure est grave, une page a été tournée par un vent de révolte nordique.

Je ne vis pas en Norvège, où a eu lieu le terrible carnage réalisé par Anders Behring Breivik, mais au Danemark, un pays voisin. Je suis au premières loges pour voir ce qui se passe en Scandinavie, une partie du monde qui est loin d’être une petite bulle idyllique comme on a voulu vous le faire croire pendant longtemps. Ces derniers jours, j’ai beaucoup discuté avec des amis danois, qui sont de la même génération que Breivik. Ils sont choqués. Aucun d’entre eux ne cautionne les actes du terroriste norvégien. Comme tout le monde, je pense également que la violence n’est pas une solution.

Mais s’ils condamnent cette odieuse tragédie qui a coûté la vie à 77  personnes, mes amis danois regrettent que son acte de folie stigmatise les opposants au multiculturalisme et fasse beaucoup de tort à leur cause. Ils avouent également comprendre ce qui a poussé le tueur à agir. Leurs opinions ne reflètent pas forcément celle de tous les Danois et de tous les Scandinaves, mais de nos discussions, il ressort plusieurs éléments, révélateurs du climat tendu qui règne dans les pays nordiques. Il n’y a pas qu’en France où de plus en plus de gens se posent des questions et réalisent que leur population est en train de disparaître.
 
Dans son blog, le sénateur roumain Iulian Urban (parti démocrate libéral) explique : 
« sciemment ou non, les responsables politiques poussent la politique européenne vers une forme d’extrémisme qui transforme l’Europe en une poudrière. Dans ce chaos, il est étonnant qu’un seul Européen ait appuyé sur la gâchette pour exprimer la frustration envers l’indifférence et l’hypocrisie de la classe politique européenne devant l’islamisation et l’immigration illégale qui, selon le discours politique même, mettent en danger la civilisation et la culture européennes. »

C’est ce que pensent mes amis danois. Ceux-ci sont également révoltés par le mensonge des politiciens qui, derrière l’écran fleuri du mot « multiculturalisme », essaient de nous aveugler : ça n’est pas de multiculturalisme dont il est question, ça n’est pas une multitude de cultures auxquelles on essaie de nous enrichir, mais bel et bien une seule et unique idéologie totalitaire qu’on nous impose de force.

On ouvre de plus en plus de mosquées, on créée de nouveaux arrangements au sein des législations, on ferme les yeux sur des pratiques illégales et discriminatoires. Et à l’heure où, dans votre France laïque, vous n’avez plus le droit d’afficher des décorations de Noël, le maire de Paris invite les musulmans à venir fêter le ramadan à l’Hôtel de Ville. Mais qu’en est-il des Japonais, des Brésiliens, des bouddhistes, des Néo-Zélandais, des Évangélistes, des Polonais, des Chiliens, des Mormons ? Le Maire de Paris offre-t-il aux Russes de la capitale une fête pour célébrer le Noël ou la Pâque orthodoxe ? Ouvre-t-on tous les mois en grande pompe des centres culturels tibétains ? Inaugure-t-on régulièrement des musées sur l’histoire des terres australes ou le folklore ukrainien ? Certainement pas. C’est encore et toujours des musulmans dont il est question.

Toutes ces élites qui nous dirigent, à coup de propagande et des discrimination positive, et dont l’esprit obtus est empoisonné par le spectre de la repentance coloniale, ne sont-elles pas les premières personnes à chercher à obtenir des dérogations spéciales afin que leurs enfants ne passent pas leur scolarité dans des lycés « à fort coefficient multiculturel » ? Ces personnes aux revenus confortables, sponsorisés par des associations communistes, sont-elles les premières à tendre la main à des réfugiés somaliens pour les accueillir dans leur loft à Saint-Germain des Prés ? Sont-elles confrontées tous les jours à la peur de se faire canarder par une kalasnikov dans dans les rues de Marseille ? Doivent-elles se battre pour payer leur loyer à la fin du mois, alors que leurs voisins « issus de la diversité » se gobergent aux frais de la princesse ? Sont-elles terrifiées lorsqu’elles doivent prendre les transports en commun tous les jours, pour aller au travail dans un endroit où on les force à manger de la viande halal qui finance un culte qui n’est pas le leur ?

Mes amis Danois et moi sommes profondément  atterrés de voir que nous les Européens qui souhaitons simplement conserver notre culture et vivre en paix avec nos compatriotes, nous soyions taxés de racistes et xénophobes, que nos propos soient censurés, que nos opinions fassent de nous des criminels, comme au temps de la bonne vieille époque communiste (nous reconnaissons bien là ses méthodes). Ne pas vouloir accepter la domination d’une idéologie incompatible avec les valeurs de notre pays, ca n’est pas du racisme ou de la xénophobie, c’est un droit légitime, c’est une question de survie. Nos ancêtres se sont battus pour notre liberté, alors au nom de quoi, aujourd’hui, devrions-nous renoncer à la nôtre ? Les Indiens d’Amérique, les tribus d’Amazonie, les Aborigènes en Australie, tous ces peuples autochtones ont le droit de défendre leur peuple, leur territoire, leur culture et leurs traditions. Pourquoi les Européens n’ont-ils pas ce droit inaliénable qui anime l’histoire de l’humanité depuis la nuit des temps ? Pourquoi les Européens doivent-ils accepter l’occupation de leurs terres par un peuple qui ne les respecte pas et qui les extermine partout dans le monde ?

Certaines personnes considèrent Anders Breivik comme un héros. Dans cette situation où les bien-pensant prostituent l’Europe pour en faire une terre d’islam, un vrai héros, c’est celui qui parviendrait à monter une armée. Attention, cette phrase n’est pas une incitation à l’insurrection, mais une simple et froide constatation émise par beaucoup d’Européens, frustrés par tant d’inaction de la part de leurs compatriotes et leaders politiques. On parle ici et là de guerre civile, mais nous ne sommes pas d’accord : s’il y avait guerre civile, les Européens de souche qui n’acceptent pas cette occupation – car c’est bien d’occupation qu’il s’agit – formeraient une résistance armée et se défendraient. Or nous voyons bien que non seulement ils ne se défendent pas, mais qu’en plus ils doivent se battre contre leurs compatriotes aveuglés par des œillères idéologiques, des « halal-hippies » comme on les appelle au Danemark, qui se croient humainement et moralement supérieurs et vivent dans le déni le plus total. Les Européens de souche doivent lutter contre deux fronts à la fois, dans leur propre pays et contre leur propre peuple. Nous sommes arrivés à un point dans notre histoire où il faut nous défendre.

En Suède, un pays submergé par une déferlante migratoire (je vous laisse parcourir ce blog…), on s’interroge aussi beaucoup. Un ami Suédois m’a même dit que selon lui n’est pas impossible qu’Anders Behring Breivik soit un converti à l’islam qui a monté toute cette opération pour décrédibiliser et diaboliser les nationalistes…

Quoiqu’il en soit, Anders Behring Breivik veut se montrer comme étant le premier Templier d’un nouveau genre, le premier instigateur d’une croisade qui libérerait l’Europe. Il était en guerre. Mes amis danois pensent qu’il savait très bien que son acte unique et ponctuel ne ferait pas changer les mentalités. Ils assument que ce qu’il cherchait probablement, c’était – en plus de créer un sentiment de terreur – de provoquer une gigantesque confusion au sein des démocraties, un clash entre les différents partis politiques. Et surtout une plus grande prise de conscience de la part des Européens, dont beaucoup se retrouveraient forcés de choisir leur camp au lieu d’observer passivement la déchéance de leur nation. Comme le disait Aristote, « la tolérance et l’apathie sont les dernières vertus d’une société mourante ». Personne ne s’attendait à ce que le communisme s’écroule un jour et aussi vite. Anders Behring Breivik vient de démontrer qu’un seul Européen est capable de provoquer un cataclysme.

Mais eux qui devraient être accusés de crime contre l’humanité ce sont les politiciens, les intellectuels, toutes ces « élites » qui laissent leurs propres compatriotes se faire persécuter et exterminer, leur population se faire remplacer, au nom du politiquement correct. Le Père Henri Boulad, prêtre à Alexandrie, dans son texte Message à l’Europe s’alarme: « au nom de la tolérance, l’Europe est en train d’ouvrir ses portes à l’intolérance. Au nom de la démocratie, le risque est de voir vos enfants et petits enfants  vivre dans une société totalement différente où les non-croyants ou croyants en d’autres religions, les dhimmis, auraient moins de droits que ceux de la majorité de la population. Ceci signifierait un retour aux pires moments de la domination religieuse de type médiéval qu’a connu l’Europe dans le passé et dont elle s’est heureusement affranchie. »

Tout en observant mon peuple s’éteindre sous mes yeux, je souhaite apporter mes sincères condoléances à ces autres victimes du multiculturalisme tuées en Norvège. J’espère que leurs familles arriveront à surmonter cette épreuve difficile et à honorer leur mémoire. Aujourd’hui, nous sommes tous Norvégiens, nous sommes tous des victimes de la folie de nos dirigeants.

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