« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

dimanche 10 février 2013

Pétition - Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !

Le texte de la pétition ci-dessous ne le précise pas : Mais non seulement il faudra être accrédité pour accéder à ce patrimoine universel, ce qui suppose la constitution de listes noires régulièrement mises à jour, mais il est évident que ces "sociétés privées" en profiteront pour faire disparaître des catalogues des tas de documents que l'on n'est pas censé connaître, qui "n'auraient pas dû exister", parce qu'ils chiffonnent nos vigilants censeurs, toujours sur la brèche depuis les premières traductions de la Bible. Cette censure existe sur wikipedia, où tout info défavorable aux juifs est soigneusement vaporisée, falsifiée, rabotée, limée, élaguée ou aseptisée; les bibliothèques publiques la pratiquent sans état d'âme, on veut maintenant que ce soit rétroactif, jusque vers 1470. C'est non!

Les autodafés ne seront pas fait en publique cette fois!

Paris, le 18 janvier 2013 — Le ministère de la Culture a annoncé hier la conclusion de deux accords, signés entre la Bibliothèque nationale de France et des firmes privées, pour la numérisation de corpus de documents appartenant pour tout (livres anciens) ou partie (78 et 33 tours) au domaine public. Les fonds concernés sont considérables : 70 000 livres anciens français datant de 1470 à 1700, ainsi que plus de 200 000 enregistrements sonores patrimoniaux. Ces accords, qui interviennent dans le cadre des Investissements d’avenir et mobilisent donc de l’argent public, vont avoir pour effet que ces documents ne seront pas diffusés en ligne, mais uniquement sur place à la BnF, sauf pour une proportion symbolique.

Ces partenariats prévoient une exclusivité de 10 ans accordée à ces firmes privées, pour commercialiser ces corpus sous forme de base de données, à l’issue de laquelle ils seront mis en ligne dans Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF. Les principaux acheteurs des licences d’accès à ces contenus seront des organismes publics de recherche ou des bibliothèques universitaires, situation absurde dans laquelle les acteurs du service p ublic se retrouveront contraints et forcés, faute d’alternative à acheter des contenus numérisés qui font partie du patrimoine culturel commun.

Les conditions d’accès à ces éléments de patrimoine du domaine public seront restreintes d’une façon inadmissible par rapport aux possibilités ouvertes par la numérisation. Seule la minorité de ceux qui pourront faire le déplacement à Paris et accéder à la BnF seront en mesure de consulter ces documents, ce qui annule le principal avantage de la révolution numérique, à savoir la transmission à distance. Partout enFrance et dans le monde, ce sont les chercheurs, les étudiants, les enseignants, les élèves, les amateurs de culture, les citoyens qui se trouveront privés de l’accès libre et gratuit à ce patrimoine.

La valeur du domaine public réside dans la diffusion de la connaissance qu’il permet et dans la capacité à créer de nouvelles œuvres à partir de notre héritage culturel. Sa privatisation constitue une atteinte même à la notion de domaine public qui porte atteinte aux droits de chacun.

Source : Stormfront

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire