« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

mercredi 19 juin 2013

Un manifestant pro-famille prend 2 mois de prison ferme pour des broutilles !


Suite à la manifestation devant M6, quand François Hollande s’y rendait dimanche dernier, les forces de police se sont livrées à une répression inacceptable mais malheureusement devenue habituelle.

Alors qu’il tentait d’échapper aux flics-racailles en civil, Nicolas un manifestant d’une vingtaine d’années, se réfugie au Pino Pizza sur l’avenue des Champs Élysées. Il s’ensuit une bousculade et le jeune est arrêté.

Après 48 heures de garde à vue et près de 24h heures au dépôt, Nicolas est condamné à 4 mois de prison, dont 2 mois fermes pour rébellion, refus de prélèvement ADN et dégradation de bien privés.
Alors qu’il n’y a plus de place dans les prisons, il a été écroué immédiatement.

C’est UNIQUEMENT pour casser la mobilisation populaire que cette sanction vient de tomber.

Le CSVR annonce venir en aide spécifiquement à Nicolas.

Source : Contre Info

Nicolas a l’air épuisé. 2e séance de 3 jours dans les cachots de Taubira. La dernière fois il était sorti libre Logique : il était innocent.

A 15h45, le procureur demande 2 mois de prison ferme ainsi que 2 mois sursis. Nicolas devrait donc, selon le procureur, payer 1500 € d’amende, et 2500 € pour les policiers qui l’ont étranglé.

D’après Prisonnier politique :
L’avocat : la police a chargé sur des jeunes a qui il n’a rien été reproché ! Aucune infraction. Poursuites à 10 sur un jeune de 23 ans. Taser sorti. Et il n’avait rien fait ! Alors oui il a eu peur ! Il s’est réfugie dans un restaurant !

L’avocat a tenté, vidéo à l’appui, de démontrer le caractère mensonger de ces motifs. Cette tentative s’est révélée infructueuse, le tribunal ayant décidé de suivre les réquisitions du procureur.

Les derniers mots du condamné, avant de se retrouver à nouveau derrière les barreaux, furent « On ne lâche rien ! ».

A noter que les personnes présentes au dépôt afin de soutenir le moral de Nicolas ont été violemment parquées par les forces de l’ordre. Des téléphones portables ont été arrachés.

Voilà la Justice de la République!

 

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