« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

mercredi 29 octobre 2014

Boris Le Lay condamné à 3 mois de prison ferme pour écrits “antisémites”

L'image de la pensée républicaine!

Notre éditorialiste Boris Le Lay, 33 ans, a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à 100 jours de prison a-t-on appris par l’AFP aujourd’hui. Le motif en est “des écrits antisémites” datant de 2010. Lui était reproché d’avoir écrit que les juifs étaient « surreprésentés chez les violeurs et autres désaxés mentaux » et qu’ils avaient une « nature exclusivement parasitaire et improductive ».

La peine d’emprisonnement sera exécutée si notre éditorialiste ne s’acquitte pas d’une somme de 50 euros par jour pendant 100 jours. Son passeport lui a été retiré sur ordre des ministères de l’Intérieur français et des Affaires Etrangères.

Nous avons bien sûr sollicité notre éditorialiste sur cette condamnation dont s’est fait l’écho la Ligue de Défense Juive :

Je n’ai pas été averti de la tenue du procès. Je n’avais en conséquence pas d’avocat. Mais c’est là un détail puisqu’il s’agit d’une décision politique pour un pseudo délit de nature politique. En septembre, c’est Fabrice Bourbon, du journal Rivarol, qui a été condamné à 80 jours de prison moyennant amende pour avoir utilisé le terme “sioniste” dans un sens qui ne plaisait pas au Sanhédrin. Plus récemment, l’essayiste Alain Soral s’est vu menacer de 3 mois de prison ferme pour avoir égratigné le journaliste juif Frédéric Haziza” nous confie-t-il.

Avant d’ajouter :

Je ne travaille pas dans le diamant, ni au Fonds Monétaire International. Je ne suis pas non plus un cousin de Roger Cukierman. Je ne dispose pas des sommes évoquées, n’ayant que ma seule plume en guise de bien propre. L’Etat Français n’a qu’à me boucler pour délit d’opinion, c’est une chose à laquelle un nationaliste breton, catholique de surcroît, s’expose par définition. Ce que je perds en temps je le gagnerai au moins en honneur”.

Source : Breiz Atao

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